Carnage > Stomp your feet and clap your hands, Let's kill tonight !

intelligent - franc - déterminé

nom complet : Cletus Kasady, un nom que l'on ne préfère pas entendre et pourtant bien trop présent dans les faits divers date de naissance : 24 octobre 1990 âge actuel : 28 ans de folie lieu de naissance : Brooklyn, New-York études/situation professionnelle : Vivre sa passion au quotidien, tel fut son choix. Tuer, tuer et encore... tuer. Il ne vit que pour cela. Chaos et meurtre rythment sa vie. situation civile : Sa vie et son être sont partagés avec le symbiote Carnage... Néanmoins, à sa manière, chaque nouvelle victime est l'occasion de construire une nouvelle relation, incroyablement brève dont l'issue immédiate est le trépas. résidence actuelle : Quelque part dans Brooklyn, les restes d'un orphelinat ravagé par les flammes. Là où il devint ce qu'il est aujourd'hui double identité : Carnage. Le nom d'un monstre, signifiant l'étendue de son ambition... et résonnant comme sa raison d'être

psychopathe - violent - sanguinaire - solitaire - rancunier - sadique

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anecdotes/histoire
Une enfance obscure, violente et troublante. Les fondations de ce qu’il deviendra dans le futur. Curieux. Fasciné par la notion de mort et par l’acte d’ôter la vie. Il se mit en tête d’observer ce que les adultes appeler “rendre son dernier souffle”. Les animaux furent ses cobayes. Ses premiers cadavres. Puis vint sa mère. Peut-être avait-t-elle des doutes sur la stabilité mentale de son fils. Quoiqu’il en soit, elle se retrouva penchée sur lui, un couteau de cuisine entre les mains tandis que son père faisait irruption dans la pièce, un marteau à la main. A-t-il cru qu’elle menaçait à la vie de son fils. La masse vint s’abattre sur le crâne de la seule personne que Cletus eut peut-être aimé un jour. Un être humain venait de rendre son dernier souffle pour la première fois sous ses yeux. Au cours du procès qui eut lieu quelques semaines plus tard, l’enfant - contre toute attente - plaida contre son père, l’accusant d’avoir volontairement tué sa mère, et le fit directement envoyé sur la chaise électrique. Beaucoup de détails restent obscurs pour les forces de l’ordre encore aujourd’hui. Jamais Cletus n’a conté exactement la même histoire que ce soit aux forces de police ou aux multiples psychiatres qu’il aura connu.. Sa mère essayait-t-elle véritablement de le tuer ? A-t-il fait exécuter son père par vengeance ou simplement par envie ? Quoiqu’il en soit, il venait de franchir une ligne sans marche arrière possible. La graine de la folie  venait de prendre dans un terreau bien trop fertile. Quelques temps après, il passa à l’acte avec le dernier “parent” qui lui restait : sa grand-mère. Le gamin avait monté un véritable stratagème en faisant hurler à la mort le chien de cette-dernière - en le torturant - pour la faire descendre à la cave et la faire chuter dans l’escalier, au sommet duquel il put admirer la vieille dame baigné dans le sang fraîchement versé de son crâne éclaté deux mètres plus bas. Une mort accidentelle fut alors retenu par les autorités, ce n’est que des années plus tard que la vérité sera connue.

N’ayant plus aucun parents, Cletus fut envoyé au Foyer pour garçons St. Estes contre sa volonté. Il s’isola volontairement, ne voyant les autres pensionnaires que comme des obstacles et imaginant bientôt pour chacun d’entre eux une façon de leur arracher la vie. La distance qu’il entretenait avec ses camarades firent de lui la cible de nombreuses brimades et moqueries, attisant d’autant plus sa haine et son envie de passer à l’acte, d’autant plus que le personnel du pensionnat n'intervint pas. Sa patience finira par disparaître, et il assasinera l’une des éducatrices en la poussant du haut d’un balcon avant de mettre le feu au bâtiment. Il restera devant le grand portail, admirant la voluptueuse et mortelle danse des flammes emportaient la vie de ses anciens “voisins” de chambre. Le sentiment qu’il ressenti en entendant les cris terrifiés et désespérés de ces-derniers fut pour lui indescriptible.

Âgé d’un peu plus de seize ans, Kasady entra dans une boucle sombre. Devenant un véritable animal rôdant dans les rues et laissant parler ses pulsions. Les meurtres se sont succédés pendant plusieurs mois, mettant à rudes épreuves les enquêteurs. Aucun mobile apparent, pas de mode opératoire distinct… aucun lien entre les victimes. Juste une violence inouïe à chaque découverte de cadavres. Des corps mutilés, éviscérés, défigurés… parfois qui n’avait plus rien d’humain. Il y prenait du plaisir. Faire souffrir jusqu’à la dernière seconde. Puis d’un revers de la main, ôter la seule chose qui rattache toute être vivant à cette terre. Le pouvoir de mettre fin à la vie, la jouissance ultime à ses yeux. Un véritable jeu du chat et de la souris s’installa entre lui et les autorités. Personne ne pouvait prédire quand un corps viendrait s'ajouter à liste déjà beaucoup trop longue… quelques heures ? jours ? semaines ? Kasady lui-même ne le savait pas. Il agissait quand l’envie lui prenait. Heureusement pour New-York il était loin d’être infaillible. Ils réussirent à le coincer après moults péripéties.

Son procès fut outrageant vis-à-vis des familles des victimes. Cletus reconnut l’ensemble des faits sans discuter, se vantant de son efficacité.  Il se lança dans un récit aussi terrifiant que déroutant, au cours duquel il décrivit méticuleusement chacun des meurtres. Il fit preuve d’une précision chirurgicale dans l’explication de chacune des souffrances infligés avec le but escompté et la réaction de ses victimes. Allant jusqu’à décrire les visages tordus de douleurs et les hurlements poussées par ces-dernières. Plusieurs fois la séance dû être levée, les familles ne supportant par les paroles du jeune homme. Le scénario se répétait encore et encore. Un rire fou, ayant perdu tout notion de raison, s’élevait dans l’air chaque fois qu’on le traînait de force à l’extérieur de la pièce pour mettre fin à ses exposés inhumains. La charge mentale fut telle pour le jury qu’il fallut plusieurs semaines au procès pour que la condamnation tombe. Cletus Kasady écopa de onze condamnation à perpétuité. Le jugement avait été rendu, le tueur en série était destiné à finir sa vie entre les murs de Ryker’s Island là où beaucoup auraient voulu le voir à son tour sur la chaise électrique...

Personne ne pouvait deviner que c’est au sein de cette prison que le peu d’humanité restant de lui - si humanité il y avait encore - allait disparaître pour laisser place à un véritable monstre. Là-bas il partagea sa cellule avec un dénommé Eddie Brock, ancien journaliste au Daily Bugle, jetant son dévolu sur la musculation… Il était aussi connu pour être le tristement célèbre Venom. Cletus n’avait guère prit le temps de s’intéresser aux faits divers, ce nom ne lui évoquant alors pas grand-chose. Cinq ans passèrent jusqu’à l’évasion. Le symbiote Venom retrouva son hôte originel sous les yeux effarés de Kasady. Ce-dernier assista à une démonstration de force impressionnante où un simple mouvement de bras balaya les murs de la cellule. En quelques secondes, Venom et Brock s’étaient enfui… laissant derrière un héritage dont New-York se serait bien passé. Le symbiote, dans sa manoeuvre d’évasion avait laissé derrière lui une partie son patrimoine génétique. La progéniture de Venom, impatiente de pouvoir exprimer sa violence, se lia au premier être humain présent : Cletus. Pour la première fois de sa vie, il ressentit de la peur. Sa main se couvrit d’une substance rouge sang, ses doigts devinrent de véritables griffes acérés tandis que le symbiote gagnait son bras, puis son visage… pour finalement le recouvrir entièrement. Les geôliers arrivèrent bien trop tard. Ils avaient devant eux un véritable monstre difforme qui se jeta sur eux dans une folie meurtrière avant de finalement s’échapper. Quand Kasady reprit le contrôle, il ne put que constater la puissance de cette “chose”. Enivrer par cette sensation de puissance, il l’accepta sans broncher, rendant l’associant des deux encore plus dangereuses. Leur tempérament profondément violent, leur soif de sang insatiable et leur volonté d’amener chaos et destruction donna naissance à Carnage. Là où Venom et Eddie Brock formaient deux entités bien distinctes. Carnage n’était, lui qu’un seul et même être. Pas de “Nous”, juste un “Je”.

Lâché dans les rues de New-York, le monstre reprit l’activité qu’il avait laissé en suspens, avec encore bien plus de violence qu’auparavant. Les boucheries se multiplièrent dans toute la ville, le sang ruisselait sur les routes bitumées… les forces de police étaientt devenues impuissante. L’une des premières victimes de Carnage fut un élève partageant le même cursus scolaire qu’un certain Peter Parker. Ainsi il s’attira les foudres de l’Homme-Araigné et de plusieurs autres justiciers. Rapidement, il développa une certaine aversion contre les personnes, qui comme Parker, se mettait entre lui et ses victimes. Il aura fallu des efforts colossaux pour parvenir à l’arrêter, chose qui n’aurait certainement jamais été possible sans les Quatres Fantastiques qui ont exploité le point faible des symbiotes pour le neutraliser…

Malgré sa nouvelle arrestation, Kasady ne lutta que très peu lorsqu’ils le firent interner au Ravencroft Institute. Placé en cellule d’isolement et en détention psychiatrique, ils essayèrent plusieurs fois de séparer le symbiote de son hôte… sans succès. La fusion entre les deux êtres était telle que les cellules sanguines de Kasady et celle du symbiote étaient maintenant liées. Pour autant, le symbiote ne se manifesta pas pendant un long moment. Les psychiatres ont alors entamé une thérapie visant à comprendre comment Cletus était devenu le monstre qu’il était. Encore une fois, il prit cela pour un jeu, mettant à l’épreuve le mentale de ses spécialistes. Il conta son enfance d’innombrables fois, changeant toujours une partie de l’histoire pour laisser planer un voile, édifiant une certaine “légende” autour de lui. Néanmoins, ce petit jeu ne dura qu’un temps. Sa patience arriva à sa limite et de nouveau Carnage réapparu, brisant sa camisole sans peine et empalant les gardes présents pour le surveiller. Il s’échappa une fois de plus…

Bien conscient de l’obstacle que représentaient les héros et les diverses organisations qu’ils avaient formés, il ne put prendre le risque de réitérer son erreur. Même si l’idée d’être plus discret et prudent ne leur plaisaient pas tant que ça, ils n’eurent guère le choix. Attendant le moment opportun pour laisser de nouveau Carnage mettre les rues de New-York à feu et à sang, semer le chaos, ils s’établirent là où tout avait commencé pour Cletus : dans les décombres et les bâtiments désaffectés du Foyer St.Estes à Brooklyn. Peu après son évasion, les meurtres reprirent de plus belle, et pas moins violemment. Seulement, ils prirent les dispositions nécessaires pour ne pas être pister avec plus ou moins d’aisance… Néanmoins, les deux s’étaient jurés qu’ils ne laisseraient plus quelqu’un se mettre en travers de leur route.

2019… sera l’année qui marquera le grand retour de Carnage dans les rues de New-York. Les projecteurs sont braqués sur la lutte contre les Sinister Six, les héros sont bien trop occupés avec eux… Après tant de temps, Carnage a soif. Du sang, des os brisés, des hurlements de terreur, le chaos. L’Heure de Carnage a sonné.

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capacités, équipements, habiletés, pouvoirs

une force (capable de soulever jusqu'à cinquante tonnes), une agilité, une vitesse et une endurance surhumaine. capable d'adhérer à n'importe quelle surface. échappe au spider-sense de spider-man ainsi qu'à la capacité de traque naturelle de son géniteur. lorsque le symbiote recouvre son corps, il est capable de produire des filaments lui permettant de se déplacer à la façon de parker ou venom et d'entraver ses adversaires. il peut aussi les rendre particulièrement tranchant pour les utiliser comme des armes. il peut déformer et modeler son corps à l'envie, prenant la forme de diverses armes (hache, épée, masse) qu'il peut aussi projeter. le symbiote est aussi capable d'imiter n'importe quel vêtement, permettant à Kasady de se camoufler. lié jusqu'au sang, carnage dispose d'une capacité de régénération très avancé, lui permettant entre autre de retrouver son apparence initiale simplement en saignant. elle lui permet entre autre de faire "repousser" des membres perdus (même la tête). immunisé au maladie terrestre. il résiste aussi aux impacts des armes à feu traditionnelles. il peut voir au travers de l'ensemble des cellules de son corps, lui permettant de prévenir les attaques surprises. Néanmoins, Carnage dispose de deux points faibles. Le premier étant le son et particulièrement les ultrasons que les symbiotes ne supportent pas. S'il y résiste mieux que son père, il n'en reste pas moins vulnérable. Par contre, il est particulièrement sensibles aux flammes.